« Je crois à Dieu, à Mozart, à Beethoven, ainsi qu’à leurs disciples et à leurs apôtres ; je crois au Saint-Esprit et à la vérité d’un art un et indivisible ; je crois que cet art procède de Dieu, et vit dans les cœurs de tous les hommes éclairés d’en haut ; je crois que celui qui a goûté une seule fois les sublimes jouissances de cet art, lui est dévoué pour toujours, et ne peut le renier ; je crois que tous peuvent devenir bienheureux par cet art. » Dix Écrits de Richard Wagner, 1898
Rares sont des jours comme celui-ci. Alors que les pages de notre calendrier se succèdent vers le vingt-septième jour de l'année, célébrons solennellement la naissance de celui sans qui, ni Beethoven, ni Wagner et ni Mahler, pour ne citer qu'eux, n'auraient été imaginables. Là où il y a beauté, harmonie, raffinement, simplicité et symétrie, l'héritage de Mozart est présent.
Né le 27 janvier 1756, Mozart, disait Richard Wagner dans De la musique allemande, était "ce génie le plus grand et le plus divin". Le monde n'a plus jamais été le même, et il ne le sera plus jamais. L'art absolu, la musique absolue et la perfection absolue qu'on ne considérait que possibles sous une forme platonicienne sont désormais là. Maintenant ici, avec nous. Ici, sur cette même planète.
Richard Wagner Canada
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